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à l'Ecole Normale d'Instituteurs de Vannes, Morbihan, de 1966 à ....

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Promo Astérix.......

 

 


Ce blog a été créé suite à nos retrouvailles du samedi 13 mars 2010, au cours desquelles nous avons vu avec émotions (oui, un s)un diaporama de photos de notre Promotion Astérix née en septembre 1966, photos récentes et aussi disons anciennes...

De retour à son domicile, l'un de nous s'est dit: "pourquoi ne pas faire un blog de tout cela, que tout un chacun et une chacune pourrait regarder et alimenter tranquillement à loisirs au coin du feu???"

Aussitôt dit, aussitôt fait.
Jacques Le Sourt, Yves Le Moal et Jacques Bleuzen ont "cédé" les "droits" des photos qu'ils avaient prises... Au fond de certain tiroir, on en a trouvé d'autres très anciennes... (et le filon n'est pas tari)

Il va de soi que nous comptons bien sur les membres de la promotion pour transférer les leurs ici, à la "technique", pour les publier aussi!!!  Tout est bon à prendre: photos, textes, chansons aussi (30, pas plus!) On va voir ce qu'on peut faire avec le CD-ROM offert par J.L.S. et si possible, publier les photos s'y trouvant.

Merci pour tout !  JB

jacques.bleuzen@orange.fr

 

 

 

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Mercredi 28 Mars 2017 - 13h50
 
 
 

 

 

bilan de la "dégringo" du vendredi 23 mars 2018 à Arzano...

 

Des 23 Mars, il y en a eu de plus ensoleillés et de moins pluvieux; en un mot, de plus printaniers. Tant pis, on ne choisit pas le temps qu'il fait ou qu'il fera quand on prévoit un tel événement à six mois de distance!

Mais après tout, peu importe! car comme dit la chanson, le soleil n'étant pas dehors, il fut dans le coeur de chacun(e) des participant(e)s à ce repas. Merci à tous (tes) les présents (tes). Quelle belle preuve de fidélité à ce genre de retrouvailles!

Même si tout s'est passé à l'intérieur de l'auberge (apéritif, repas,  photos de classe, animations...) chacun a essayé de deviser avec l'un ou l'autre à sa guise, au cours des différents moments informels de convivialité glanés de-ci de-là au cours de la journée.

"Bien sûr nous eûmes des orages" dixit Brel dans nos vies; chacune et chacun n'ont pas été épargnés par les aléas de l'existence malheureusement; mais ces réunions bisannuelles permettent de se retrouver le temps d'une rupture de quelques heures avec un quotidien parfois "imbuvable", d'évoquer des souvenirs heureux et de repartir un peu plus rasséréné avec souvent un moral meilleur qu'à l'arrivée. Ces moments de partage sont de douces et efficaces thérapies contre notre spleen éventuel. Quand on se retrouve deux ans après, on a l'impression d'avoir quitté les copains la veille! C'est le sentiment que m'ont donné les différents protagonistes avec lesquels j'ai échangé (Jacques Le Sourt dixit).

La réception avec le patron de l'auberge du Cleuziou Maurice Dauphin est toujours chaleureuse. Nous avons carte blanche pour nos animations dans la salle qu'il nous alloue. Je profite également pour saluer la qualité du repas qui nous a été servi. EEn effet, que ce soit les Saint-§Jacques en brochettes, le cochon grillé et ses légumes, les fromages ou la poire belle-Hélène, tous les plats avaient une  saveur gustative. D'ailleurs, quand les assiettes sont reparties à la cuisine, la vaisselle était déjà presque faite! Tant pis pour les éventuels animaux qui attendaient nos  reliefs  de repas avec impatience! Pour eux, ce vendredi, c'était croquettes pour tous!!....... Il est à remarquer d'ailleurs que, pour des raisons personnelles bien compréhensibles à nos âges, les boissons àont été bues avec modération.

Mais où sont donc les dégringos d'antan où les joyeuses libations prenaient le plus souvent le pas sur la nourriture dite solide? Chacun a encore en mémoire ces lendemains de fête où un nombre non négligeables de kangourous indisciplinés semblait s'être immiscés dans nos jeunes crânes! Et je ne m'étendrai pas sur notre tuyauterie intérieure qui souvent semblait vouloir crier "grace" après avoir été mise à rude  épreuve durantbb le  repas et le chemin de retour!!

Les bobos de la vie sont passés par là, que ce soit le cholesttérol, la glycémie, la tension.... et/ou les douleurs diverses et variées dans tous les azimuts de nos corps. Bref, les "sages" que nous sommes maintenant sont devenus.... sages! Les seuls stigmates encore visibles de cette époque révolue sont la joie et l'entrain avec lesquels nous enttonnons et avec gouaille, nos couplets de chansons estudiantines de l'Ecole Normale; évidemment, ces refrains se rapprochent plus de par leurs paroles des chants de salles de garde que du doux et innocent psaume roucoulé par l'ingénue nonnette en phase d'intégration définitive. Ceci dit, le  plaisir et l'envie sont intacts et nous les interprétons toujours avec autant de bonheur et de jubilation, comme au premier jour. Cependant, il faut savoir choisir le resto en conséquence, afin de ne pas choquer les oreilles éventuellement un peu trop tendres du personnel, voire du voisinage. Mais avec un peu de pratique, on arrive à trouver les établissements de bouche qui répondent à cette complexe alchimie! Merci donc à Maurice et à son équipe de nous laisser paillarder à notre guise, malgré les paroles qui sont parfois plus que polissonnes, voire grivoises et bmême disons-le sans ambages, salaces!

Nous avions invité à ce repas deux de nos anciens professeurs de l'E.N., Maurice Le Lamer, prof de sciences, Claude Morin, prof de musique, ainsi que notre ancien "surgé" Jean Brillet. Malheureusement, ni les uns ni les autres ne purent venir à ces retrouvailles, à leur corps défendant, le plus souvent pour des raisons de santé. Il n'empêche que soit oralement soit par écrit, chacune de ces personnes a transmis un petit mot sympathique afin de se rappeler à notre bon souvenir. Merci à tous les trois pour leur attention à notre égard; le bon souvenir est réciproque!

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Je dois égallement dire ici que sur l'initiative d'un gaulois de base de la tribu, une normalienne de notre promotion, et régionale de l'équipe de surcroît à Arzano, a été invitée à la table commune. C'est avec grand plaisir qu'ils furent accueillis, elle et son compagnon. Nous leur donnons rendez-vous de nouveau dans deux ans.

Je n'ooublie pas les camarades absents cette fois à ce repas. En effet, Guy Lanoé, Michell Lenormand, Gérars Saucey, Jean-Yves Fraboulet et Jean-Luc Moreau ne purent partager les agapes avec la tribu habituelle de gaulois. Qu'ils sachent qu'ils étaient malgré tout avec nous par la pensée! Certains nous avaient fait parvenir un "petit mot de participation avec le coeur". Tous ces messages ont été lus à la docte assemblée en "apéritif" du repas.Et appréciés à leur juste valeur!! On leur donne dès à présent rendez-vous pour la prochaine dégringo!

Et puis n'oublions pas non plus les cinq compagnons de notre promotion qui "nous privent de leur présence" aux repas depuis déjà plusieurs années.Tant pis pour eux, pourrait-on dire, ils sont majeurs et vaccinés et nous  respectons leur choix, mais il n'en demeurent pas moins vrai qu'ils renoncent "à l'insu de leur plein gré" à un moment sympathique et convivial à souhait. Si ce petit mot arrive jusqu'à eux, qu'ils sachent qu'ils seront toujours les bienvenus  si d'aventure ils venaient à changer d'avis! On aimerait à chaque fois recevoir de leur partbun simple message écrit par exemple, afin de se rassurer à leur sujet. Car tous les deux ans, ils reçoivent une invitation en bonne et due forme pour se glisser dans le groupe. La bouteille à la mer est jetée; maintenannt, la décision leur appartient!

Voilà!! Je crois avoir fait le tour par écrit de cette sympathique journée de retrouvailles. Au nom de tous ceux qui se sont occupés de l'organisation de cesfestivités, je vous remercie pour votre présence car soyez-en sûrs (es), votre participation fait chaud au coeur à tout le monde. Il ne me reste plus qu'à vous dire à très bientôt, car malheureusement à nos âges, deux ans, ça passe trop vite!

Je souhaite, ainsi qu'à vos proches, une bonne continuation et surtout à toutes et à tous une bonne santé. Merci pour votre fidélité! La dégringo 2018 a vécu! Vive la dégringo 2020...................... signé: Jacques Le Sourt.

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Loin de moi l'idée de casser l'ambiance de cette belle journée, mais pendant que nous festoyions, dans la joie de se retrouver et dans l'ignorance de l'acctualité quotidienne, un drame se jouait dans le sud de la France.

Ayons une pensée émue pour les victimes et leurs proches!

Tous ceux qui ont perdu la vie au cours des différents conflits ou actes terroristes ont permis au peuple de se relever et de continuer à vivre dans un certain confort de vie. Rappelons-nous ne serait-ce que la trop longue liste de ceux qui nous ont précédés, qui avaient été fauchés au printemps de leur vie et dont les noms sont inscrits en bas de l'escalier de l'Ecole Normale. GRAND MERCI A TOUS.

Honte aux terroristes et assassins de tout poil, de toute confession, de toute idéologie, et gloire aux héros!

Le dernier mot reviendra au bon maître Georges Brassens: "mourrons pour des idées, d'accord mais de mort lente; car à forcer l'allure, il arrive qu'on meure pour des idées n'ayant plus cours le lendemain! Que les "va-t-en-guerre" méditent ces quelques vers; accessoirement, messieurs, on pourrait faire une économie substantielle de chair à canon! "Ne  retardons jamais d'une résistance" aurait renchéri Mr Deville. Ô comme il avait raison!!! Même malheureusement cinquante ans pplus tard!!!!

 

 

oyez, oyez, bonnes gens!... (Mars 2018)

 

Prenez le temps d'écouter ce qui suit, car si la connerie se transposait en musique, nul doute que certains seraient des chefs d'orchestre talentueux! Plantons le décor: qu'est-ce qu'un bloc mucilagineux à effet soustractif??... Encore un bel exemple de l'esprit con....fus et alambiqué de nos énarque de l'éducation nationale!.... Bloc mucilagineux à effet soustractif... Voilà une belle occase de se gratter les tifs! Pourtant, on n'est pas bête, on a de l'instruction; mais voyons plus avant cette définition.

Désolé, mesdames et messieurs, il faut que nous retournions à l'école, voire même à une certaine école, mais laquelle? Il faudrait même soumettre cette question eexistentielle aux Grands Sages de l'académie française le jeudi, jour du dictionnaire quand les 40 immortels du Quai Conti ne ronflent pas trop, après une "méridienne sustentation copieuse et arrosée" (ou, si vous préférez, quand ils ont bouffé et bu comme des vaches à midi). L'Education Nationale fait des progrès sensibles dans la transmission de notre belle langue française! BLOC MU-CI-LA-GI-NEUX A EF-FET SOUS-TRAC-TIF!!!! Que se cache-t-il derrière cette périphrase?

Nous nous étions habitués à ce que les femmes de ménage fussent devenues des "techniciennes de surface" alors que dans leurs rôles de "bonnes à tout faire", elles excellaient. Nous nous étions habitués à ce que les caissières de supermarchés fussent devenues des "hôtesses de caisse", les aveugles des "non-voyants", les sourds des "malentendants". Nous nous étions habitués à ce que les handicapés physiques fussent devenus des "personnes à mobilité réduite"; les braves coiffeurs des "visagistes; les noirs et les jaunes, des "êtres de couleurs" et les péripatéticiennes, des "travailleuses du sexe". Voilà un dernier exemple qui devrait ravir les amoureux de la langue! Prenez le mot "langue" au sens littéraire du terme, bien sûr! Celle de Villon, de Molière, de Hugo, de Rabelais, dee D'ormesson, voire de Frédéric Dard et d'autres que j'oublie! Qu'ils  me pardonnent, et non celles de Mme Claude et de ses filles qui sont sans doute un tantisoit moins littéraires mais tout aussi agréables voires fripponnes, sensuelles et voluptueuses.

La langue, cet appendice qui prolonge la penséee, n'est-elle pas aujourd'hui par elle-même galvaudée? Ne l'utilise-t-on pas, un peu, cette escalope, pour dire des vacheries, des conneries interlopes? Oh!!! Que ces vocables en les employant me pèsent! Faut-il toujours parler, et de rut, et de baise?Alors que le velours qui recouvre cet organe est propice à l'extase dans les bras de nos femmes?! Qu'elle soit d'chez Mme Claude ou de l'Académie, on utilise la langue comme on veut. On choisit la façon de s'en servir, et selon ses pulsions. Qu'elle soit sauce piquante avec des cornichons, ou gribiche, et son lot de patates et d'oignons. Je dois dire que je l'aime dans toutes ces situations. On peut  même l'aimer chaude, goûteuse et réservée, celle dont les diplomates, à longueur de journée, lui font dire sans le dire, le fond de leur pensée. On peut se faire comprendre, sans toujours la ram'ner!.... Mais revenons sur terre! Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'une "évolution de notre langue", mais plutôt d'une "prospective positive modernisée d'un mode de communication orale"! Tout fout le camp, braves gens!!!...

Je dois vous faire un aveu: j'ai adoré, j'adore toujours et ceci pour un bout de temps encore j'espère, le camping. Cette forme d'hébergement en vacances m'a permis de voyager bien au-delà des frontières de notre cher et vieux pays, de façon bien moins onéreuse que dans d'autres structures d'accueil. Seulement voilà:  les campings ne veulent plus qu'on les appelle ainsi, parce que ça suscite instantanément dans  l'esprit des gens l'image de Franck Dubosc vêtu d'un simple "moule-boules" ou de Roger et Ginette à l'apéro avec la casquette Ricard et les tongs Adidas! ça change tout! suurtout les prix!!

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Dans un autre ordre d'idées, j'ai aussi appris que les gens petits par la taille, Edith Piaf, France Gall, Jeanne d'Arc, Jean-Paul Sartre, la reine Vistoria, Sarko, par exemple, Mais aussi Napoléon bien sûr, et j'en oublie, n'étaient pas petits mais "concentrés", voire même de "taille modeste", et que les nains n'étaient pas des nains, mais des personnes à verticalité contariée!! On ne se moque pas de tous ces "concentrés", De ces tailles modestes qui ont droit de cité. Les petits à verticalité contrariée, que tous vivent et rigolent! Qu'ils ne soient  pas brimés! On doit les respecter, mais je les plains un peu car ils sont les derniers à savoir quand il pleut! Mais une fois encore, revenons sur terre............

Je fus déjà plus qu'interloqué pendant une conférence pédagogique (pardon! une réunion professionnelle de remise à niveau) lorsque l'inspecteur départemental de l'éducation nationale nous apprit que désoormais, les élèves allaient apprendre à manier "l'outil scripteur" en lieu et place du bien nommé stylo-bille qui était déjà une entorse à l'utilisation du faeux porte-plume Sergent Major, que nous tous avons connu au temps évanoui de notre enfance!

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Nous nous sommes habitués au fait que le mot "rédaction" devait être banni de notre champ lexical au profit de l'expression "production d'écrits"!!! Nous nous sommes habitués au fait que les expressions "sorties scolaires" ou pre "promenades scolaires" devaient être remplacées toutes affaires cessantes par ces trois mots "sortie de cohésion".... Quant aux élèves en difficultés ou handicapés, ils deviennent du jour au lendemain des "élèves à besoins éducatifs spécifiques"!!! Pauvres parents de ces enfants, ces nouveaux mots vont-ils changer fondamentalement quelque chose dans leur quotidien? Non bien sûr!!! Malheurreusement, ils continueront à se culpabiliser, à tort, et pendant longtemps encore.

Mais sans discussion aucune, la palme est attribuée au Conseil Supérieur des Programmes. Qu'y trouve-t-on? Eh bien ceci: l'élève n'apprendra plus à écrire, mais à "maîtriser le geste graphomoteur ainsi qu'à automatiser progressivement le tracé normé des lettres"....Lors des exercices de graphologie, nous n'oublierons pas au demeurant les encouragements de bon aloi ainsi que les louanges verbales, discrètes et bien senties, distillées à chacun; voici quelques exemples:
1) pour l'élèves Béatrice: Bravo Béatrice, ton B est Bien Beau!
2) pour l'élève Cécile: Compliments, CéCile, ça, C'est un Chouette C
3) pour l'élève Maurice: Merci Maurice, tton M est Magnifique
4) pour l'élève Quentin: Quant à toi, Quenttin, Quel beau Q !
Il n'y aura plus de bonnes vieilles dictées mais une vigilance orthographique et constante!!!!!!
Quand un élève sera en difficultés, on tentera une "remédiation"; autrement dit: "tu as vomi en mangeant des épinards! Désormais tu en auras deux fois plus!!!"..... Mais  le meilleur, curieusement, est pour la gym! Ô Pardon...pour l'E.P.S (éducation physique et sportive). Attention! là encore, on s'adapte! On ne court pllus, on "crée de la vitesse". On ne nage plus dans la piscine, "on se déplace dans un milieu aquatique profond et standardisé, et on traverse le bassin en équilibre horizontal, par immersion prolongée de l'appendice céphalique de l'organisme". Ah, c'est du lourd!!!!!! Les "Précieuses Ridicules" de Molière à côté, c'est la produit de la miction du jeune félin! (je n'ose pas dire: du pipi de chat)

Alors, mesdames et messieurs, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque qui nous caractérise, et inventons sur le champ (ou, si vous préférez, "une surface herbeuse propice à l'alimmentation d'un cheptel de bovidés") inventons, disais-je sur le champ, une nouvellle catégorie: les personnes en cessation personnelle d'intelligence et de discernement, autrement dit les CONS!

Quant aux parents d'élèves, pardon: "aux géniteurs d'apprenants", il leur faut des trésors de clairvoyance insoupçonnés afin de décrypter tout ce qui sort des circonvolutions cérébrales des crânes d'oeuf de l'éducation nationale. Car entre "l'outil scriptuaire" qui est un simple stylo, et le "féférentiel bondissant" qui n'est autre qu'un vulgaire ballon, ils ont de quoi s'y perdre!

Ici, j'ouvre une parenthèse... Allez parler de "référentiel bondissant" à Franck Ribéry... Pour une fois, on ne peut pas lui en vouloir de donner sa langue à Zahia Dehar, pardon: dde donner sa langue au chat (enttre nous, le chat coûte moins cher que Zahia - 2500 euros la nuit pour un anniversaire, avis aux amateurs - et le chat, c'est pas mal non plus, pourdonner sa langue!

Surtout si le chat est une chatte!
Enfin, référentiel bondissantt ou pas, voilà le salgimondis oral prononcé par Franck Ribéry à une conférence de presse d'avant-match.Je ne résiste pas au plaisir de vous le  lire! je cite: "j'pense qu'on espère qu'on va gagner ccar je m'sens énormément très bien avec le ballon. j'ai qu'ça à dire".Condidence pour confidence, mon cher Franck, nous aussi on n'a que ça à dire! On reste sans voix! Merci à toi, Franck, pour la faîcheur de ta phraséologie et ton style oral inimitable et reconnaissable entre tous ceux de tes congénaires; tes erreurs de langage (involontaires, de surcroît, ça leur en donne que plus de relief!)  nous ravissent surtoutt quand elles volent en escadrilles très groupées comme c'estt souvent le cas!

Quand je pense que ttu émarges chez nos  cousins germains, à la fin de chaque années, à 14 millions d'euros!!!!! Ce qui fait à la louche 10 milliards d'anciens francs gagnés à la sueur de tes pieds!

MAIS.......

Loin de moi de tirer avec belle assurance sur tes pieds nourriciers, honneurs de notre France. D'vant les miens, en revanche, tout le monde s'enfuit! Leurs effluves, leurs fragances, même les plus endurcis, les fontt fuir rapidement vers des contrées lointaines. Ah!!! Si j'avais connu cette force suprême, je me serais posté sur la ligne Maginot afin que l'ennemi renifle mes godillots! Alors mes pieds aussi eussentt connu la victoire; ett vaincu sans péril, ett triomphé sans gloire.

MAIS REVENONS SUR TERRE.......


Vous  me direz que d'autres, en gagnent autantt, sinon plus, à la sueur de ceraines parties, plus ou moins nobles de leur organisme. Moralitté: chacun ou chacune, dans  la vie, gagne sa croûte avec la tronçon de son anatomie pour lequel la Nature a été la plus généreuse à son égard. Ceci dit, pouvez-vous me donner la solution à la question: GENTES DAMES ET GENTILSHOMMMES....QU'EST-CE QU'UN BLOC MUCILAGINEUX A EFFET SOUSTRACTIF??? Et bien, c'est tout simplement....... une gomme!

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Avant la chute musicale de cettte petite causerie, le retraité de l'éducatin nationale que je suis, moi, Jacques Le Sourt, vous remercie de votre obligeance à son égard, après cet exercice masturbatoire de nos cellules ni blanches, ni noires. Mais au fait, j'ai parlé de "retraité" ett non de "vieil accompagnant  en pédagogie auprès de jeunes apprenant manquant parfois de discernement". Mais vous serez, j'en suis sûr, d'accord avec moi en disant qu'un seul mot, employé à bon escient, est parfois plus explicite et moins pédant qu'une longue périphrase dans laquelle, quuand on arrive à la fin, on ne se rappelle plus de l'idée diirecttrice du début....D'OU L'INTERET POUR SE FAIIRE COMPRENDRE....D'ETRE LE PLUS CON---CIS POSSIBLE.  Bref, comme l'a dit le bon maître Georges Brassens, le temps ne fait rien à l'affaire! Quand on est "en cessation personnelle d'intelligence et de discernement", on est "en cessattion personnelle d'intelligence et de discernement".

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Avant de terminer, voici un extrait dde cette belle chanson de Georges sur le thème de"la cessation personnelle d'intelligence et dediscernement" en employant non pas cette périphrase bien longue, mais le mot de trois lettres qui la remplace et quui est bien spontané et "pparlant aux  yeux dde tous", coommmme dirait Bernard LLaporte, ancien sélecttionneur de l'équipe de France  de rugby, ancien secrétaire d'état chargé des sports soous Sarko, accessoirement président actuel de la Fédération Française de Rugby et ex-homme sandwich télévvisuel du jambon Madrange. C'est le même homme qui, lors d'un voyage ministériel dans les Caraïbes, à sa descente d'avion, sur la tarmac de Fort-de-France, devant une forêt de micros, était venu, je cite:"voir les Antillais.... de vive voix!!"

Ceci dit, j'aimerais avoir ton palmarès. Toi qui es fils d'instit, pas une histoire de fesses qui ternit bêtement une carrière impec.Mais de grand rugbyman, ttu deviens un p'tit mec!............ Après  des vilenies et  des malversations, qui entachèrent bêtementt e l'home e la fonction, ne  crois pas qu'installé sur la plus haute marche, ça te me à l'abri, tel un grand patriarche.............. Ici-bas, nul n'échappe aux griffes de  laa justice, la marche est bien souvent le bord d'un précipice.

Je ferme ici cette ironique parenthèse et maintenant, pplace à la  chanson de Brassens:


Le temps ne fait rien à l'affaire,
Quand on est con, on est  con!
Qu'on ait 20 ans, qu'on sooit grand-père,
Quand  on est con, on est con.
Entre nous, plus  de controverse,
Cons caducs ou cons débutants,
Petits cons d'la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antan,
Petits cons d'la dernière averse,
Vieux cons des neiges d'antant.



Vous avez bien compris! La "gomme" fut un prétexte
Pour taquiner la muse, pour ciseler un texte.
Car on peut, à partir ce cet objet mou,
Dire ce que l'on veut, délirer peu ou prou!

Et comme on est toujours souvent le con d'autrui,
Alors le con d'un autre vous salue, les amis,
Avec toute l'amitié, tous mes bons sentiments,
J'vous dis à la prochaine et ce, chaleureusement.

Merci à toutes  et à tous!
(fait à Locmariaquer le vendredi 16 mars 2018)JACQUES LE SOURT.



 

 

le jour et la nuit.... 1/4

 

 
Depuis longtemps, me trottait dans la tête l'envie profonde et sincère de revoir notre Ecole Normale d'Instituteurs de l'Avenue Roosevelt, à Vannes. Je retardais toujours le moment d'y aller. Et puis voilà que la décision a été prise irrémédiablement: ce fut pour le lundi 20 juin 2016, premier jour de l'été mais un jour pluvieux de bout en bout. J'y suis donc alllé, accoompagné d'un ami, sous la pluie mais tout de même abrité dans la voiture!...

A première vue, à priori, l'E.N. reste la même, quoi que.... Une fois pénétré dans l'enceinte, quels changements!!! Le  jour et la nuit, par rapport à l'E.N. que nous avons si bien connue!! Tout a changé, vraiment tout!!! On ne  la reconnaît plus, ce n'est plus la même, c'est complètement un autre monde; vous pouvez le constater en regardant les quelques photos ci-jointes. Cela m'a fait tellement mal au coeur de ne plus retrouver tout ce que nous avions connu!!!

Figurez-vous que maintenant, il y a même un ascenseur pour monter au "sommet"!!! Et une "secrétaire" à "l'accueil"!!!!!! Et une barrière pour le parking!!!! Ah, les amis, c'est peut-être devenu très moderne, mais quelle tristesse!!! Oui, quelle tristesse de ne plus retrouver ce que nous avions connu jadis!!! Même l'école annexe n'est plus la même!!!! Et le jardin de Monsieur Papaille!!!! Où est-il, englouti par les bâtiments qui ont "poussé" sur la cour de gym bitumée chère à René!!! Le bureau à Finet!!! La salle des proffs!!! Et que sais-je encore!!!!

Mais j'arrête là car vraiment je n'ai eu que du chagrin de revoir "notre" chère Ecole Normale. Je n'y retournerai jamais plus, c'est trop triste, et puis c'est hélas un autre monde qui est loin d'être le mien. Adieu, chère E.N.......