Promo Astérix.......
les moines de St-Bernardin...
|
Bien sûr, pris au 1er degré, le titre de cette chanson ne nous convient guère...
Cependant, à y regarder de plus près, on y trouve quelques affirmations: vivre en groupe, voire en processions, aimer le (bon) vin, les nonnes, etc...
Bon! Blague à part...
C'est une chanson originale de l'année 1935, créée par Ray Ventura et ses Collégiens, mais toutefois provenant du folklore français!!!
Le titre est bien celui indiqué ici:
les moines de St-Bernardin
"Nous sommes les norm-e, les saints norm-a-liens......."
Cependant, à y regarder de plus près, on y trouve quelques affirmations: vivre en groupe, voire en processions, aimer le (bon) vin, les nonnes, etc...
Bon! Blague à part...
C'est une chanson originale de l'année 1935, créée par Ray Ventura et ses Collégiens, mais toutefois provenant du folklore français!!!
Le titre est bien celui indiqué ici:
les moines de St-Bernardin
"Nous sommes les norm-e, les saints norm-a-liens......."
Commentaires textes : Écrire
l' Internationale...
|
| Eugène POTTIER et Pierre DEGEYTER |
Le soir, après l'turbin, c'est-à-dire en "étude", les "grands norms" venaient nous apprendre des chansons disons folkloriques.
Il y avait aussi des airs patriotiques, comme celui que vous pourrez écouter si vous cliquez sur le petit triangle en haut de cet article.
L'Internationale, puisque tel est son titre, est une chanson FRANÇAISE, une chanson née en France!
Eugène Pottier en a écrit le texte à Paris en 1871; Pierre Degeyter a écrit la musique à Lille en 1888. On les voit sur les photos.
Il y avait aussi des airs patriotiques, comme celui que vous pourrez écouter si vous cliquez sur le petit triangle en haut de cet article.
L'Internationale, puisque tel est son titre, est une chanson FRANÇAISE, une chanson née en France!
Eugène Pottier en a écrit le texte à Paris en 1871; Pierre Degeyter a écrit la musique à Lille en 1888. On les voit sur les photos.
- Commentaires textes : Écrire
Honneur et Gloire à l' Ecole Laïque
|
Cet hymne à l'École Laïque fut chanté dans toutes les écoles publiques de la République Française lors de la célébration du cinquantenaire
des écoles laïques. Les paroles sont de Jean Bynat, sur une musique de Francis Popy.
Cette chanson patriotique, avec quelques autres, nous avait été inculquée par les "vieux" norm's le soir, lors de nos études tardives... Le moins que l'on puisse dire est qu'il s'agit d'une BELLE chanson.
Pour l'entendre, cliquez sur le petit triangle...
Honneur et Gloire à l'École Laïque
Où nous avons appris à penser librement,
À défendre, à chérir la grande République
Que nos Pères jadis ont faite en combattant.
Elle nous enseigna des jours fameux l'Histoire.
En formant notre esprit, elle éleva nos coeurs,
Faisant revire en nous l'éternelle mémoire
Des héros, des martyrs, des émancipateurs.
etc.......
des écoles laïques. Les paroles sont de Jean Bynat, sur une musique de Francis Popy.
Cette chanson patriotique, avec quelques autres, nous avait été inculquée par les "vieux" norm's le soir, lors de nos études tardives... Le moins que l'on puisse dire est qu'il s'agit d'une BELLE chanson.
Pour l'entendre, cliquez sur le petit triangle...
Honneur et Gloire à l'École Laïque
Où nous avons appris à penser librement,
À défendre, à chérir la grande République
Que nos Pères jadis ont faite en combattant.
Elle nous enseigna des jours fameux l'Histoire.
En formant notre esprit, elle éleva nos coeurs,
Faisant revire en nous l'éternelle mémoire
Des héros, des martyrs, des émancipateurs.
etc.......
- Commentaires textes : Écrire
éloge funèbre de Monsieur Tanguy, respectueusement surnommé " P'tit Crab' "
|
Le 17 Septembre 1983, à St-Coulomb, Yvon Le Guyadec, ancien Secrétaire Général du S.N.I., prononçait l'éloge funèbre de notre ancien professeur d'histoire-géo de l'E.N., Jean Tanguy, surnommé affectueusement P'tit Crab' par tout un chacun.
....................................
C'est avec stupéfaction et une douloureuse émotion que nous avons appris vendredi soir le décès de notre ami et camarade Jean Tanguy. Jean nous a quittés à l'age de 66 ans. Nous souhaitions le garder le plus longtemps possible. Nous faisions même une joie de le retrouver dans le Morbihan, son département, celui du moins que la grande famille des instituteurs et P.E.G.C. faisait sien.
Le destin en a décidé autrement et nous perdons pour bon nombre d'entre nous, pour ses camarades de la F.E.N. et de la Mutualité, un père spirituel, pour tous un exceptionnel militant, un remarquable camarade et un ami.
Jean faisait partie de cette lignée de grands militants qui ont enrichi leur engagement d'enseignant de responsabilités militantes multiples, départementales et nationales.
Jean a quitté l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud en 1942. En 1946, il est affecté au collège Jules Simon, qui comportait à l'époque une école primaire supérieure. La réouverture dans les mois qui suivent de l'École Normale de Vannes l'amène à rejoindre immédiatement la grande maison de l'avenue Roosevelt. Il restera toute sa vie fidèle à cet engagement.
.............................. à suivre ...........................
....................................
C'est avec stupéfaction et une douloureuse émotion que nous avons appris vendredi soir le décès de notre ami et camarade Jean Tanguy. Jean nous a quittés à l'age de 66 ans. Nous souhaitions le garder le plus longtemps possible. Nous faisions même une joie de le retrouver dans le Morbihan, son département, celui du moins que la grande famille des instituteurs et P.E.G.C. faisait sien.
Le destin en a décidé autrement et nous perdons pour bon nombre d'entre nous, pour ses camarades de la F.E.N. et de la Mutualité, un père spirituel, pour tous un exceptionnel militant, un remarquable camarade et un ami.
Jean faisait partie de cette lignée de grands militants qui ont enrichi leur engagement d'enseignant de responsabilités militantes multiples, départementales et nationales.
Jean a quitté l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud en 1942. En 1946, il est affecté au collège Jules Simon, qui comportait à l'époque une école primaire supérieure. La réouverture dans les mois qui suivent de l'École Normale de Vannes l'amène à rejoindre immédiatement la grande maison de l'avenue Roosevelt. Il restera toute sa vie fidèle à cet engagement.
.............................. à suivre ...........................
- Commentaires textes : Écrire